Petit lexique raisonné du théâtre pour le collège (en construction)

Le théâtre est un espace de jeu, souvent délimité par une scène, qui sépare un public des acteurs qui jouent. C’est une des activités humaines les plus anciennes, une façon élaborée et très efficace pour présenter au public un moment d’histoire. Précurseur du cinéma, le théâtre a probablement évolué à partir du conte et de la poésie ; mais le plus intéressant est qu’il n’a pas été inventé dans un lieu unique, mais que pratiquement toutes les cultures et toutes les langues du monde le connaissent d’une façon ou d’une autre, y compris à travers des rituels de type religieux.

Pour en savoir plus, vous pouvez visiter les liens suivants :

Les lieux et les hommes

Scène

La scène est d’abord un espace physique : c’est le lieu dans lequel les acteurs se produisent, dans le cadre d’une pièce, pour le plaisir d’un public.

Une scène est aussi une subdivision d’une pièce de théâtre (voir découpage).

Acteurs ou comédiens

Le théâtre n’existe pas sans acteurs, que ceux-ci soient humains ou animés, comme les marionnettes.  Les acteurs sont les interprètes d’une pièces, c’est-à-dire d’un texte ; mais ils ne se contentent pas de dire ce texte : ils jouent, c’est-à-dire qu’ils exécutent sur scène les actions que l’on peut attendre de leur rôle (les amoureux s’embrassent, les époux se disputent, les ennemis s’affrontent, etc.)

Mise en scène

La pièce vue par le public est le résultat d’une mise en scène. Les acteurs, souvent aidés par un metteur en scène, répètent la pièce pour mettre en place leur personnage, leurs entrées et sorties, les actions qu’ils exécuteront, la façon de dire leurs répliques, leurs déplacements, etc.

De nos jours, les acteurs sont secondés par des techniciens qui n’apparaissent jamais sur scène mais dont le travail est indispensable au  succès d’une pièce : décorateurs, costumiers, éclairagistes, machinistes, régisseurs

Jeu

Le jeu des acteurs est le résultat visible de la mise en scène : chacun entre, sort, dit ou déclame son texte et agit de façon à montrer au public quel rôle il joue, mais aussi à servir la pièce pour le plaisir des spectateurs.

La pièce

Action

Toute pièce de théâtre développe une ligne d’action (éventuellement plusieurs) mettant en présence des désirs ou des volontés opposées.

Exemples :

Ce système peut s’analyser selon un schéma de fonctionnement appelé schéma actanciel ; mais une pièce de théâtre se présente toujours de la même façon :

  1. exposition : le début de la pièce permet d’exposer au public la situation des personnages, leurs désirs ou leurs objectifs, mais aussi les obstacles ou les oppositions qu’ils devront surmonter ;
  2. l’action se développe ensuite de façon plus ou moins logique, à la faveur de rebondissements variés ;
  3. la fin de la pièce est marquée par le dénouement, heureux ou malheureux, de l’action, éventuellement à la faveur d’un coup de théâtre, c’est-à-dire d’un retournement inattendu de situation.

Découpage

Le texte d’une pièce de théâtre est découpé en parties de longueur très variable selon les époques et  le type des pièces. L’action présentée par la pièce est divisée en actes ou en tableaux, souvent (mais pas toujours) marqués par des changements de décor ; actes et tableaux sont eux-mêmes subdivisés en scènes, qui correspondent généralement (mais pas toujours) à l’entrée ou à la sortie d’un ou de plusieurs acteurs.

On peut aussi découper la pièce selon les différents rôles attribués à chacun des personnages : jeune(s) premier(es),  pères nobles, mères (in)dignes, servantes, valets, traîtres, etc. chaque rôle est constitué par l’ensemble des répliques et des actions d’un personnage ; en fonction de la longueur, on distingue les figurants (qui ne parlent pas du tout), les utilités, les personnages secondaires et principaux

Réplique(s)

Le texte d’une pièce de théâtre se présente sous la forme d’une suite de répliques, dites par les acteurs qui incarnent les différents personnages de la pièce. Le nom du personnage est indiqué avant chaque réplique :

DON DIEGUE –                                           Rodrigue, as-tu du cœur ?

RODRIGUE – Tout autre que mon père l’éprouverait sur l’heure.

(Corneille, Le Cid)

Les répliques peuvent être brèves ou longues : on les appelle alors des tirades. Dans certains cas, les personnages en proie au doute, à la souffrance, à la joie ou à l’exaltation s’expriment à haute voix dans des monologues (c’est-à-dire sans personne pour leur « donner la réplique »).

Écriture

L’écriture théâtrale, elle aussi, varie selon le genre de la pièce ou l’époque. La plupart des pièces anciennes, et en particulier les tragédies, étaient en vers, ajoutant au théâtre une dimension poétique ; l’usage de la prose, plus conforme à l’expression du réel, s’est cependant peu à peu imposé en passant d’abord par la comédie.

Didascalie(s)

Une didascalie est une indication de jeu (mais aussi de décor ou de costume) donnée par l’auteur de la pièce  ; elle est toujours indiquée d’une façon particulière, différente du reste du texte (le plus souvent en italiques et entre parenthèses).

Les genres

Multiple dans ses formes à travers le monde comme à travers l’histoire, le théâtre fait, comme la littérature, l’objet d’études savantes, qui conduisent à des regroupements d’ordre pratique. Pour le théâtre en France, on distingue ainsi deux grands genres : comédie et tragédie.

La comédie

La comédie exploite la dimension comique du spectacle théâtral : par son costume, ses attitudes, ses gestes et ses paroles, un acteur peut faire rire le public ; lorsque plusieurs acteurs interviennent, on peut également mettre en place un comique de situation, par exemple à travers des quiproquos (un personnage est pris pour un autre) ou une connivence avec le public (qui voit des choses que certains personnages sont sensés ignorer).

Souvent, le comique exploite des personnages courants : maîtres et valets, bourgeois, membres d’une même famille… nobles et princes interviennent soit pour marquer leur ridicule, soit comme puissances de résolution de l’intrigue à l’occasion d’un coup de théâtre.

La tragédie

Dans la tragédie, c’est le caractère tragique de l’intrigue que l’on exploite ; cependant, contrairement à une idée communément répandue, ce caractère n’est pas nécessairement lié à la mort, mais à l’inéluctable (ce que l’on ne peut éviter). La tragédie présente ainsi les conséquences -toujours néfastes- de la malédiction, des fautes ou des décisions des personnages, et permet d’en tirer des exemples à valeur morale ; les personnages de la tragédie sont donc, par nature, des personnages exemplaires : princes ou héros, et l’intrigue est ancrée dans la mythologie ou la légende historique, comme l’antiquité grecque ou l’histoire romaine pour la tragédie «classique» du XVIIe siècle français.

Le drame

A l’origine du théâtre occidental, dans la grèce ancienne, le mot drame (δραμα) désigne l’action théâtrale au sens large ; en France, il est utilisé à partir du XIXe siècle pour désigner un genre théâtral intermédiaire entre comédie et tragédie, dans lequel les personnages, sans être des héros par nature, ont souvent une attitude exemplaire face à l’adversité. Le drame se caractérise donc par l’existence d’une tension dramatique entre les désirs et les possibilités ou l’apparence des personnages, qui les pousse à se révéler ou à aller au-delà d’eux-mêmes, vers une fin heureuse ou malheureuse. Le drame ne consiste donc pas à mêler comique et tragique (on parle alors de tragi-comique), mais forme un genre théâtral à part entière.

Corrigés des devoirs en option – séquence théâtre

Les corrigés des commentaires proposés comme devoirs optionnels pour la séquence 3000 ans de théâtre sont en ligne :

3000 ans de théâtre : aide-mémoire

N. B. : les mots en gras et en italiques (ex. : théâtre classique) renvoient à des notions ou à des éléments de lexique à connaître.

Le théâtre est une forme d’expression partagée par l’ensemble de l’humanité. Il n’a pas de source unique, mais a été «inventé» par différentes civilisations, et s’est ensuite développé au fil de l’histoire artistique et littéraire. Au même titre que le théâtre occidental, que nous connaissons le mieux et qui trouve sa source dans des rites religieux de la Grèce antique, il existe donc d’autres sources du théâtre, notamment en Chine ou en Indonésie. Aujourd’hui, le théâtre est présent partout, dans toutes les sociétés et dans presque tous les pays (même s’il est parfois interdit pour des raisons politiques ou religieuses) et sous diverses formes : théâtre «traditionnel» avec des acteurs, mais aussi théâtre de marionnettes, d’ombres ou de masques.

Le théâtre est un spectacle vivant, représenté ou joué en direct par des acteurs, devant un public, généralement dans un espace délimité : la scène (ce mot désigne à la fois le lieu où se tiennent les acteurs et un contenu : les paroles, ou répliques, que les acteurs échangent entre eux et les actions qu’ils accomplissent jusqu’à ce que l’un d’entre eux quitte la scène ou qu’un nouvel acteur y paraisse). Sur scène, les acteurs incarnent des personnages : les répliques échangées et les actions accomplies entre eux sont fictives : elles s’adressent en fait au public, dans le cadre d’un dispositif dénommé double énonciation.

Le théâtre n’est pas le seul spectacle vivant : au fil de l’histoire et du temps, d’autres types de représentations, qui obéissent aux mêmes principes de base, sont apparues : le théâtre lyrique, qui fait intervenir la musique et le chant, ou le ballet, qui montre des danseurs ; ces genres sont parfois mélangés dans le cadre d’une même pièce, comme dans Le malade imaginaire de Molière au XVIIe siècle ; il existe également un théâtre totalement muet, avec le mime et la pantomime. D’autres formes de spectacle peuvent également se rapprocher du théâtre : music-hall, cabaret, concerts, cirque, mais aussi, dans une certaine mesure, les spectacles que proposent le sport, ou encore la corrida, dont les premiers exemples connus remontent à la Crète minoéenne et sont donc bien antérieurs au théâtre Grec…

Le cinéma, devenu aujourd’hui l’audiovisuel, partage avec le spectacle vivant un grand nombre de caractéristiques ; l’absence de l’une d’elle, tout à fait essentielle, conduit toutefois à classer l’audiovisuel avec le récit, au même titre que le roman ou la bande dessinée. Si l’on a bien affaire à un spectacle, celui-ci est cependant «mis en boîte» de façon définitive et reproductible ainsi à l’infini, perdant du même coup la notion essentielle de «vivant». Un film est en effet, tout comme un roman, condamné à répéter indéfiniment la même suite de scènes, de dialogues ou d’expressions : de même qu’à la page tant d’un roman, la 100e lecture verra toujours la même apparition d’un personnage, la 100e vision d’un même film nous proposera, au même instant, la même image, le même décor, les mêmes expressions des personnages qu’il met en scène, au contraire du théâtre où les acteurs, bien que prisonniers d’un texte et d’une mise en scène, proposent chaque soir à des spectateurs différents un moment unique où s’opère un partage, un échange qui ressort à la fois de ce que l’humain a de plus profond et de plus insondable et qui touche au magique, à l’inexplicable.

En occident, le théâtre est connu dans la mesure où il a été écrit et conservé ; une grande partie du théâtre de l’antiquité Grecque a ainsi disparu, et il en va de même de la plupart des contenus de spectacles anciens, que des troupes de comédiens ambulants pouvaient jouer, pour quelques sous, sur des tréteaux de fortune dans les foires et sur les marchés, et qui ont débouché sur des formes particulières comme celle de la commedia dell’arte, qui s’est développée entre la renaissance et le XVIIIe siècle et reste encore vivante aujourd’hui. Depuis lors toutefois, le théâtre résulte la plupart du temps d’un véritable travail d’écriture effectué par des auteurs plus ou moins spécialisés (Shakespeare ou Molière ont écrit exclusivement pour le théâtre ; Victor Hugo fut à la fois poète, dramaturge et romancier), et s’inscrit alors en tant que genre littéraire au même titre que le récit.

Genre littéraire donc, autant que spectaculaire, le théâtre se décompose lui-même en genres, qui sont tous, pour notre culture occidentale, issus de la même source héllénique : la comédie, qui synthétise ce qui provoque le rire ; le drame, ubiquiste et protéiforme, qui rassemble toutes les émotions produites par la représentation théâtrale ; la tragédie, qui suscite avant tout l’effroi du public.

Rire, émotion, effroi : les résultats recherchés sont obtenus par des moyens divers, que l’on peut définir comme autant de registres, qui transcendent d’ailleurs le genre théâtral : le comique, le dramatique ou le tragique se rencontrent en effet au détour du récit (roman, nouvelle ou film) et de la poésie aussi bien qu’au théâtre.

Si ce qui fait rire est logiquement comique, si le dramatique se rattache aux émotions et à leur nature violente, et si le tragique évoque le destin et la fatalité dans ce qu’elle a de plus définitif, à savoir la mort, il n’est pas pour autant facile de définir les genres théâtraux correspondants à chaque registre : la comédie n’est pas toujours drôle et ne l’est jamais sans pause, tant le rire est aussi épuisant que naturel et libérateur pour l’organisme humain ; la violence des passions exprimées dans le drame ne se débarrasse jamais de la pesanteur du quotidien ; la tragédie ne se solde pas toujours par la mort. A défaut de définitions totalement tranchées, officielles et satisfaisantes, on trouvera ci-dessous une tentative de synthèse qui propose quelques éléments intelligibles en face de «sphères» sensées représenter une partie des aspirations ou des sens partagés par l’humanité.

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De la même manière que les genres peuvent être décomposés et donner lieu à des subdivisions, comme la farce ou la satire pour la comédie (selon qu’on s’adresse à des sens plus ou moins élevés de la «sphère» physiologique), les registres s’exercent selon différents procédés.

Le comique, par exemple, dont le succèes ne s’est jamais démenti tout au long des quelques 3000 ans d’existence du théâtre et de ses divers avatars, privilégie le quiproquo, dans lequel les acteurs «croient» s’exprimer à propos d’un même objet alors qu’il s’agit de choses différentes ; la farce favorise les coups de bâton, les tartes à la crème, les mimiques, le comique de répétition ou d’accumulation ; la satire ou la comédie de moeurs usent du comique de situation, des jeux de mots, du rythme des répliques ou de l’action. D’une manière générale, l’effet comique naît d’un décalage entre la fiction développée sur scène par les acteurs et ce que le public sait, voit ou comprend, complété d’une éventuelle connivence avec l’un des personnages en présence.

La tragédie, de son côté, a connu une histoire à éclipses : dans l’antiquité Grecque, c’est un genre majeur au côté de la comédie et du drame satirique ; elle met alors en scène le destin de héros de l’histoire mythique (Oedipe, la guerre de Troie, les Atrides) et des peuples, tous placés sous le signe du destin et de la fatalité : toute tentative d’y résister ou de s’y soustraire est motivée par l’orgueil (Hybris, en Grec) et vouée à l’échec, avec des conséquences souvent dévastatrices. La tragédie antique perd de son importance sous l’empire romain, et disparaît avec lui, avant de ressurgir en France, à la fin de la renaissance et des guerres de religion : les thèmes sont à nouveau inscrits dans l’histoire légendaire, avec des sources souvent bibliques ou antiques, mais les personnages, toujours héroiques, sont à présent confrontés à la difficulté du choix : c’est le dilemme de la tragédie classique, dont l’âge d’or s’étend essentiellement sur le XVIIe siècle et le règne de Louis XIV ; la tradition perdure jusqu’à la révolution, avec des oeuvres de moindre qualité, et s’éteint. Si la tragédie est un genre vivant aujourd’hui, au sens où elle est toujours jouée, aucun auteur contemporain n’a pu lui rendre le brillant de son passé.

L’hisoire du genre dramatique est tout aussi mouvementée : né lui aussi de l’antiquité, le drame s’efface, comme la tragédie, avec l’empire romain ; il ne réapparaîtra en France qu’avec le romantisme, mais connaît d’autres fortunes en Europe : au tournant du XVIe et du XVIIe siècle, des auteurs tels que Shakespeare en Angleterre ou Calderon en Espagne écrivent et font jouer des oeuvres dont les thèmes et les personnages n’appartiennent pas toujours à la comédie ou à la tragédie. Des pièces «sérieuses» comme Roméo et Juliette ou Hamlet chez Shakespeare, ou le Faust de Christopher Marlowe, dans lesquelles la mort est omniprésente, ne sont pas des tragédies, mais des drames. En France, le drame romantique fait exploser les règles du théâtre classique qui imposait l’unité de temps, de lieu et d’action et proscrivait la représentation scénique de la mort, et permet un renouvellement de l’ensemble du genre théâtral qui amène au foisonnement du théâtre et de l’ensemble des spectacles vivants que nous connaissons aujourd’hui.

Quel avenir pour le théâtre, à l’ère du multimédia et des réseaux de communication ? D’aucuns, non sans raisons, pensent que le théâtre, dépassé par l’innovation technologique et par ses propres contradictions, est voué à une disparition prochaine. Il est vrai que la prééminence actuelle des metteurs en scène par rapport aux auteurs ou les accusations d’élitisme, parfois justifiées, causent un certain tort à cette expression millénaire des passions et de l’histoire humaine. Mais le théâtre est déjà ailleurs : multiforme, ubiquiste, il existe partout, dans les écoles et les associations, mais aussi dans les campagnes et les villages de pays inattendus : militant, il lutte en Afrique contre le SIDA, en Inde pour l’hygiène et le développement social, en Palestine pour la dignité ; ailleurs, il permet à tous, acteurs et spectateurs, de partager émotions et réflexions sur la nature humaine. Lorsque toute autre magie aura disparu, il restera encore peut-être celle de ce partage collectif.

Feydeau : notes de cours

Analyse de la pièce de Feydeau : Mais n’te promène donc pas toute nue!

Etude de la scène 2 – notes

Remarque : ce type d’analyse peut être utilisé dans le cadre d’un commentaire de texte, préalablement à la rédaction du commentaire lui-même

Résumé

La scène consiste en une longue dispute entre M. et Mme Ventroux, dont l’objet principal est le fait que Madame se promène en chemise dans l’appartement, ce qui semble choquer Monsieur.

Caractère des personnages

Monsieur Ventroux :

Madame Ventroux :

Phases et thèmes de la dispute
  1. Histoires de chemises : Monsieur attaque, Madame se défend – 1/0 pour Madame
  2. Problèmes de température et d’époque estivale : Madame attaque – 2/0 pour Madame
  3. Décence et mariage – Madame attaque – 3/0 pour Madame
  4. Décence et politique – Monsieur contre-attaque : 4/0 pour Madame
  5. Le déjeuner sur l’herbe – Mademoiselle Dieumamour : Madame attaque – 4/1 : Monsieur sauve l’honneur
  6. Réconciliation finale
Quelques répliques qui font mouche

Madame (discussion politique) : c’est toujours quand la chambre est en vacances que le pays est le plus tranquille (…)

Madame (discussion politique) : Ministre de la marine ! Tu ne sais même pas nager ! (…)

Madame (à propos de leur mariage) : Je ne te connaissais pas ; et, crac, du jour au lendemain, parce qu’il y avait un gros monsieur en ceinture tricolore devant qui on avait dit « oui », c’était admis tu me voyais tout nue. (…)

Monsieur (à propos de Melle Dieumamour : J’en ai gardé pendant deux heures un goût de vielle chandelle et de cosmétique rance dans la bouche! (…)

Devoir Théâtre – corrigé

lien ci-dessous

http://writer.zoho.com/public/olivierk/DS_Theatre2

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